Chaque année, la fameuse Whisky Bible de Jim Murray, avec son classement des meilleurs whiskys, suscite la curiosité.
En 2015 notamment, l’absence des whiskys écossais dans les cinq meilleurs crus du monde avait fait couler beaucoup d’encre.
Cette année, c’est plutôt le choix d’un rye canadien de grande série placé en tête du classement qui a fait parler.
Et pour 2017 ? Toujours un rye, mais, cette fois, un américain de 13 ans d’âge.
Pour certaines distilleries de création récente, l’année 2016 restera dans les annales comme celle de leur première cuvée. C’est le cas de l’écossais Wolfburn, avec son single malt aux saveurs tourbées, fruit d’une lente fermentation et d’une distillation minutieuse. Saluons également l’entrée en scène de la maison suédoise Box et de son premier batch vieilli en fûts de bourbon, Early Days.
L’année 2016 signe également le grand retour de certains maîtres incontestés du whisky, comme Johnnie Walker, qui rassemble, dans son Green Label, pas moins de 15 single malts, pour un résultat à la fois épicé et amer.
Vous noterez également l’entrée en scène du Deveron de Bacardi, trois jus qui sont autant d’hymnes à l’océan avec leur bouteille bleue et leur saveur iodée. Enfin, pour terminer, une pure gourmandise : le dernier-né de Glen Grant, avec ses effluves de pomme et d’amande.